Ma nymphe des eaux et de la terre,
Ma déesse du feu et de l’air,
J’ai encore rêvé de ton corps
Toi ma beauté aux cheveux d’or,
A cette alchimie qui t’entoure
Quand tu t’offres à moi sans détours.
Sur un océan de désir
Je laissais voguer mon plaisir.
Mon ondine, ma Néréide,
Tu glissais sous mes doigts avides,
Tu ondulais tout en souplesse
Sous la risée de mes caresses.
Dans un grand champs de liberté,
Entre les fleurs de volupté
Nées du matin dans la rosée,
Je cueillais ta première pensée.
Là ne poussaient pas d’interdits,
Tous les plaisirs étaient permis.
Sur un nuage de bonheur
Je m’enivrais de ton odeur.
Oh, ma sylphide si légère,
Ton parfum flottant dans les airs,
Empreint de sensualité,
Suffisait à me désarmer.
Toi ma divine au feu sacré
Comment n’aurais-je pu me brûler
A l’étincelle de ton désir
Qui m’appelait dans un soupir.
Devant la passion de tes yeux
J’entamais une danse du feu.
Ma nymphe des eaux et de la terre,
Ma déesse du feu et de l’air,
J’ai encore rêvé de ton corps
Toi ma beauté aux cheveux d’or,
A cette alchimie qui t’entoure
Quand tu t’offres à moi sans détours.
José Meyer (Avril 2013)